Voici le panneau que Mathis a fait:
Le panneau de la chouette à été refait !
Voici le panneau réalisé par Jade:
L’orite à longue queue.
Mercredi 10 mars le matin, en entrant dans la classe, nous devions chercher des objets en bois que David avait caché. Nous avions trois objets : une fleur, une grenouille et un espèce d’arbre. Tout le monde a cherché les objets en bois, c’était super ! Donc, ce jour-là, nous devions aller sur le parcours « plante » et aussi observer la mare parce qu’ elle évolue. ( c’est très sympa à observer ! )
Ensuite nous sommes allés sur le sentier. Les élèves devaient retrouver et prendre des plantes qu’on avait nommées au début du sentier. Pendant ce temps, nous deux ( Sahel et Mathis ), avons observé une orite à longue queue.
Renseignement sur l’orite à longue queue:
Cet oiseau mesure 13 à 14, 5 cm (dont 8 à 9 cm pour la queue) pour une envergure de 17 à 18 cm et une masse de 6 à 10 g. C’est un minuscule oiseau avec une très longue queue et des petites ailes rondes, au ventre blanc légèrement rosé, à la tête blanche et grise avec, chez la grande majorité des individus vivant en France une bande noire du front à la nuque passant au-dessus de l’œil. Elle se nourrit essentiellement d’insectes, de quelques graines et de bourgeons à la mauvaise saison. Elle ne dédaigne pas les mangeoires en hiver.
On l’a considérée longtemps parmi les mésanges, mais elle a la taille d’un troglodyte mignon et avec une longue queue. Elle n’a pas la taille d’une mésange, du coup on ne la considère plus parmi les mésanges. Son nom a changé, on l’appelle désormais l’orite à longue queue.
Elle se déplace en petits groupes.
Voici une orite à longue queue.
Voici l’orite à longue queue avec ses poussins !
Commentaires:
Ana: C’était très bien, j’ai vu une orite à longue queue !
Mathis: J’ai vu une orite a longue queue avec Sahel et j’ai trouvé cette journée très bien.
Sahel: J’ai observé une orite à longue queue avec Mathis, c’était la première fois que j’en voyais une sur le sentier nature !
Sahel et Mathis
Les mystérieux trous du châtaigner
Mercredi 24 février, nous sommes allés sur le sentier nature. On a fait le parcours insectes, et on a répondu aux questions. Nous avons trouvé des poils de blaireau.
Voici la photo:
Nous sommes passés devant un châtaigner, il y avait des trous.
Voici la photo de l’arbre :
Nous pensons que ces trous ont été faits par un pic épeiche.
La photo de cet oiseau :
Voici des renseignements sur l’oiseau:
Le Pic épeiche est l’espèce de pics la plus répandue et la plus commune en Europe et dans le Nord de l’Asie. Faisant partie des pics de taille moyenne, il se caractérise par un plumage rayé de blanc et de noir et une tache rouge écarlate sur le bas-ventre près de la queue. Chaque année, au printemps, cet oiseau choisit un tronc d’arbre,et il attaque vaillamment le bois à coup de bec. En quelques semaines, il, creuse une belle cavité au cœur de l’arbre.
Nous avons aussi trouvé une crotte de martre :
Voici l’évolution de la mare :
Lola et Ana
La mare qui déborde…
Le mercredi 3 février , nous sommes allés sur le sentier nature. Les enfants ont travaillé sur les plantes , ils devaient ramasser différentes plantes : le plantain , la mauve , ail des vignes achillée mille feuille , pissenlit ,trèfle, pimprenelle, lierre .
En plus les enfant devaient identifier les oiseaux qu’ils entendaient . Certains avaient apporté leurs jumelles pour mieux les voir . Ceux qui avaient le temps ont observé la mare. Plusieurs enfants ont vu des grenouilles.
Ensuite, nous (Roman et Daniel) avons pris des photos de la mare. Elle a débordée à cause de la pluie des jours précédents; L’eau a dépassé la barrière.
Les élèves ont planté les osiers dans le jardins de l’école. 4 osiers ont été plantés sur le sentier dans le nid le plus bas.
« J’ai trouvé chouette de pouvoir observer la mare qui déborde ! » Daniel.
« C’était super de pouvoir se promener sur le sentier et pouvoir observer la mare, on a vu des grenouilles ! »
« Avec Nolan, on avait emmené un thermomètre. On a mesuré la température de l’eau de la mare. Elle était à 12°C. On a mesuré aussi la température de la cascade, elle était à 3°C. » Clément
« J’ai bien aimé la cascade parce que l’eau giclait de partout ! On a réussi à trouver toutes les plantes. On a entendu un oiseau. on a mis des graines dans les mangeoires. » Louis- Martin.
« J’ai bien aimé découvrir une belle cascade, elle était extraordinaire parce qu’il avait un petit trou et l’eau passait dans une pierre. On atout trouvé les plantes sauf la ciboulette. On a entendu 2 oiseaux dont une poule. J’ai vu un oiseau gris mais je ne l’ai pas reconnu. » Gabriel
Daniel et Roman
Le parcours plantes
Mercredi 20 janvier, nous sommes allés sur le sentier nature. Nous avons fait le parcours plantes. Quand nous passions devant une plante, le binôme qui l’avait choisi, devait lire des renseignements à l’aide d’un petit carnet.
On va vous parler de plusieurs plantes.
Commençons par le lichen.
Voici une photo:
Le lichen est le premier végétal sur terre.
L’ail des vignes
Voici une photo:
C’est une plante à floraison estivale, aux fleurs rose en ombelles. L’ombelle porte des bulbilles rosées à bordeaux, généralement plus nombreuses que les fleurs. On peut manger la racine (le bulbe), elle a un goût parfumé et piquant.
La ciboulette
La ciboulette, appelée aussi civette, appétit, fausse échalote, est une plante vivace, avec des bulbilles, aux feuilles creuses et effilées, qui forme une touffe. Elle est utilisée en cuisine lorsque l’on veut apporter une douce saveur légèrement aillée.
Voici la photo de la mare !
Voici une photo du nouveau panneau que le Géoparc Beaujolais a installé.
Toineau et Lola
la boule bizarre !
Mercredi 6 janvier, les enfants sont allés sur le sentier nature pour ramasser de quoi aménager le nid de l’école, en plus les enfants pouvaient observer les oiseaux grâce à une fiche de reconnaissance que Fabien Dubois de la LPO (ligue de la protection des oiseau) nous a donnée.
Les enfants devaient ramasser : des branches de lierres , des feuilles du chêne et de la mousse. Ensemble, nous avons pris en photo une étrange boule .
Nous pensons que c’est un nid de guêpe cette étrange boule ! Elle était accroché sur un églantier . On a fait des recherches.
L’églantier est un arbuste épineux de 2 à 3 mètres de hauteur, qui se développe au bord des pâtures et dans les taillis. Cette espèce, beaucoup plus répandue autrefois, lorsque la campagne était parsemée de haies, se distingue par une ravissante floraison de mai à juillet.
Quant à ses galles, sortes de boules chevelues qu’on rencontre souvent sur les tiges de l’églantier, ce sont les « bédégars ». Le bédégar est l’œuvre d’une guêpe appelée « cynips de l’églantier« : elle injecte dans la plante un mystérieux liquide et y pond ses œufs.
les avis des élèves pour la collecte :
Clément : c’était trop bien de reconnaître les oiseaux !
Charlotte : j’ai bien aimé ramasser de la mousse !
Ensuite, en rentrant à l’école, chaque élève a déposé une petite tige d’osier dans de l’eau. Nous allons voir si des racines se développent. Nous commenceront bientôt un atelier vannerie avec Paul.
Jumana et Gabriel
Les photos de la mare
La cascade dans le ruisseau
Mercredi 16 décembre, nous sommes allés sur le sentier pour aménager les nids. Il y avait beaucoup de brouillard et il faisait froid mais heureusement, on était bien habillés.
On a fait trois groupes : les mésanges bleues, les aigles royaux et les paons.
Les mésanges bleues ont commencé sur les nids. En attendant, les aigles royaux et les paons faisaient le jeu des questions en étoile. Il y avait quatre domaines : les arbres, les plantes, les insectes et les tables d’orientation.
Nous avons observé le petit ruisseau. Nous avons passé beaucoup de temps sur le ruisseau car on a remarqué qu’il y avait des petites cascades. L’eau frappait sur un caillou, elle éclaboussait et faisait un jet d’eau.
Pour traverser, ce n’était pas facile…
La mare a débordé un peu sur le chemin. Il a beaucoup plu ces derniers temps.
On a pris des photos de la mare. Nous allons l’observer au fil des semaines. Nous prendrons une photo à chaque sortie sur le sentier.
Il y avait Valérie sur le sentier qui prenait des photo il y aura peut être un article sur le patriote et sur radio calade.
Célian et Amaury
La consolidation des nids
Mercredi 9 décembre, nous sommes allés sur le sentier nature, David Bartoloméo est venu avec nous. Nous nous sommes séparés en trois groupes, deux répondaient aux questions sur le parcours conte et un groupe consolidait les nids avec David Bartoloméo.
Ceux qui étaient sur le parcours conte devaient répondre à des questions d’observation. Par exemple : Quelle est la couleur de… ? ou Combien il y a de… ?
Pour le groupe des nids, ils consolidaient les constructions en poussant une branche dans le nid pour bien faire l’arrondi. Des élèves ramassaient de la mousse pour que ce soit plus confortable.
Nous avons vus un moineau vers les mangeoires.
Voici nos recherches (extrait du livre « tout connaitre sur les oiseaux » éditions Auzou.
Louis-Martin et Charlotte
découverte sur le parcours faune
Le mercredi 3 décembre nous sommes allés sur le sentier. Nous avons fait le parcours faune et on a répondu aux questions, à l’aide des panneaux, sur le sanglier, le blaireau, le chevreuil, le lièvre, le renard, l’écureuil.
ll y a des enfants qui ont trouvé des traces d’animaux:
des coulées (passage d’animaux)
des glands mangés
une crotte
des poils.
voici une crotte:
voici des poils:
Voici des glands mangés :
Nous avons fait des recherches. Il semblerait que la crotte et les poils proviendraient d’une martre ou d’une fouine.
Renseignement sur la fouine: La fouine est une espèce de mammifère carnivore d’Europe et d’Asie, au pelage gris-brun, courte sur patte et de mœurs nocturne . C’est une martre faisant partie de la famille des Mestelites, au même titre que la belette, le blaireau, la loutre, le putois ou le furet, petits mammifères carnivores se caractérisant souvent par leur odeur forte.
Renseignement sur la martre: Elle fait partie des mammifères. La martre est un animal au pelage marron. Elle ressemble à la fouine, mais elle possède des oreilles plus larges. Sa durée de vie ne dépasse pas 18 ans. La Martre est la plupart du temps silencieuse mais il lui arrive de pousser des cris « tok tok tok ». Et c’est impossible de distinguer la fouine et la martre avec les yeux par contre, la fouine laisse ses crottes dans les greniers, alors que la martre les dépose toujours en pleine nature. Longueur de ses crottes : 8 à 10 cm.
Ana et Jade
LE TRANSPORT DES NIDS
Samedi 2 décembre, plusieurs adultes et quelques élèves de la classe nous ont aidés à transporter cinq nids sur le sentier nature. Avec le tracteur et la remorque du papa de Célian, nous avons mis les nids près de l’observatoire en hauteur.
Il y avais cinq groupes : le 1er groupe est resté à l’école pour mettre les nids sur la remorque, le 2ème creusait pour faire des plats pour les nids (le terrain est en pente), le 3ème faisait des mosaïques avec des tuiles pour faire plus joli, un autre groupe enlevait les panneaux du parcours animaux et oiseaux et le dernier groupe a repeint quelques panneaux de géographie.
» C’était très bien, on a préparé le sentier pour l’hiver ! » Toineau
» C’était drôle, on a très bien installé les nids et je suis fier de notre travail ! » Clément
Toineau et Clément 👽👽
le chemin mystérieux
Mercredi 25 novembre, nous sommes allés sur le sentier, les élèves ont suivi une feuille de géographie. Pendant ce temps, nous avons trouvé une sorte de boule noire qui était enfoncée dans la terre, nous l’avons sortie du sol, on a fait des recherches et c’est une crotte de chevreuil. Voici la photo :
Voici notre recherche sur les crottes de chevreuil:
Les crottes du Chevreuil.
Les crottes du Chevreuil sont appelées moquettes, elles sont relativement petites.
EXTRAIT DU SITE : un regard différent sur la nature
Sur le sentier, nous avons trouvé un chemin mystérieux. Il est sous la tour d’observation. Nous sommes allés dans le passage avec Ana, Lola, Jade et Toineau. Puis, Clément et Nolan nous ont rejoints.
Ce chemin n’ a pas été fait par des animaux car on a remarqué des traces de sécateurs. Puis, nous avons découvert que c’est Roman qui l’avait construit avec ses amis.
- J’ai bien aimé le chemin parce qu’on a découvert un passage et c’était magnifique. Ana
-J’ai bien aimé à la fin du petit chemin parce qu’il y avait du givre sur du bois. Lola
Nous allons faire des réparations : un panneau sur les contes et un panneau sur les insectes sont tombés.
Inès et Sarah
Un peu de géographie sur le sentier nature
Avec la classe, on a fait de la géographie. Nous devions trouver des directions de villes et de pays partout dans le monde. Nous devions aussi trouver les kilomètres qui séparent Montmelas et les pays que nous cherchions.
Sur le chemin, nous avons trouvé un nid de guêpes dans un trou sous la terre.
Nous avons cherché des renseignements sur les guêpes, les voici ci dessous :
A la fin de l’été, les œufs donnent des mâles et des femelles fertiles qui seront fécondées…
Aux premiers froids, le nid périclite et toute la colonie disparaît ; seules les femelles fécondées hivernent dans un abri naturel.
Les nids sont fabriqués à partir de bois d’origines diverses, transformés en papier par trituration. Achevés, ils sont de forme et de tailles variables et peuvent contenir de quelques dizaines à plusieurs milliers d’individus, selon l’espèce. Apparents ou cachés, on les rencontre dans les endroits les plus variés : tronc d’arbres creux, coffrages de volets roulants, cheminées, greniers… à la cime des arbres aussi bien que dans le sol. On les repère surtout grâce aux allées et venues diurnes des ouvrières qui peuvent aller chercher leur nourriture assez loin du nid.
Les besoins en nourriture sont doubles : des substances carnées pour les larves (cadavres d’insectes, fragments de viande …) et des matières sucrées (fruits) et protéines animales ou végétales (pollens) pour les adultes.
Pour nourrir les larves, les adultes capturent des quantités très importantes de mouches, chenilles et autres insectes (moustiques…)
mer de glands…
Nolan et Clément 🤠🤠
Les nids d’oiseau géants
Lundi 9 novembre un plasticien est venu à l’école. Il nous a appris comment faire des nids pour les oiseaux et les animaux.
-Jonas : j’ai bien aimé faire les nids.
-Jumana : j’ai trouvé que c’était très instructif.
-Inès : j’ai bien aimé faire les nids.
-Elisa : j’ai bien aimé de faire les nids et de travailler en équipe.
-Mathis : j’ai bien aimé la construction des nids et le travail d’équipe.
Jonas et Elisa
Le chant mélodieux de la mésange charbonnière!
Nous sommes partis le 4 novembre 2020, nous avons fait le parcours oiseaux accompagné d’une feuille de reconnaissance des volatiles. Chaque élève devait : sois répondre à un Quizz ou faire une petite présentation à la classe sur un oiseau précis.
Pendant ce temps, nous deux, nous avons écouté les oiseaux et nous avons entendu une mésange charbonnière. Quand tous les élèves avaient fini ce qu’ils devaient faire, nous nous sommes rassemblé pour remplir les mangeoires.
Les mangeoires remplies, nous sommes repartis à l’école et pour ceux qui avaient envie de courir jusqu’au départ du sentier, c’était possible. Une fois en classe, nous avons corrigé le Quizz sur les oiseaux.
– J’ai bien aimé et j’ai découvert des renseignements sur la pie bavarde : son poids, ce qu’elle mange…
Gabriel
– J’ai bien aimé écouter les oiseaux et courir à la fin.
Sahel
-J’ai bien aimé faire le parcours oiseaux et écouter les petites bêtes volantes !
Mathis
Voici le chant de la mésange charbonnière, un document crée par la LPO » LePetitOrnitho » !
https://www.youtube.com/watch?v=1g3n6Zaqid8
Quelques renseignements sur la mésange charbonnière
La mésange charbonnière est l’une des mésanges les plus grandes et lourdes (14 cm pour une envergure de 23 à 26 cm et une masse de 16 à 21 g), de la taille d’un moineau domestique.
Elle se caractérise par sa calotte noire, ses joues blanches, son dos verdâtre et une bande noire (ou « cravate ») tout le long de la poitrine et du ventre jaune. Cette bande est moins large chez la femelle que chez le mâle.
En période de reproduction (printemps et été), son régime alimentaire est essentiellement insectivore, ce qui explique la spécialisation de son bec court adapté à ce régime. La mésange se nourrit particulièrement de petits invertébrés (blattes, sauterelles, criquets, demoiselles, petites libellules, chrysopes, perce-oreilles, punaises, fourmis, mille-pattes, mites, papillons de nuit, mouches, abeilles, guêpes, coléoptères, araignées, opilions, escargots, cloportes), de larves, de petits fruits et de graines (notamment du hêtre et du noisetier).
C’est un oiseau grégaire : en dehors de périodes de nidification, elle vit en groupe avec d’autres mésanges. Bien qu’il lui arrive parfois d’intimider ses congénères en écartant les ailes pour s’approprier une source de nourriture. C’est une visiteuse habituelle des mangeoires en hiver.
Mathis et Sahel
Travaux sur le sentier
Samedi 10 octobre, nous sommes allés sur le sentier. Nous avons planté les piquets du nouveau parcours géologique ! Il ne restera plus qu’à mettre les panneaux ! On a aussi remis quelques installations du sentier. Les parents ont refait les barrières de la mare et ont débroussaillé le nouvel accès. Les enfants ont fabriqué des cabanes.
Clément et Gabriel
Le bois mystérieux
Quand je suis sorti de ma maison, pour aller jouer, j’ai trouvé un bois. Puis je suis allé à l’école, j’ai présenté ce bois que je ne connaissais pas. Sahel est aller faire une recherche et il a trouvé, c’était un bois de chevreuil !
Sahel et Daniel
le parcours oiseaux
Nous sommes allés faire le parcours « oiseaux « . Les élèves devaient répondre à des questions sur les oiseaux. Les élèves travaillaient en binômes, nous les avons trouvé bien concentrés .
On a repéré plusieurs choses étonnantes. On a vu la petite cascade avec de l’eau, on pense que c’est parce qu’il a beaucoup plu ces derniers jours.
On a vu des champignons dans les prés vers la table d’orientation.
Après une recherche sur les champignons , on pense que ces champignons sont des mousserons d’Automne.
Victor et Maxence
Le mousseron ou plutôt le faux-mousseron, champignon des prés
Dans le langage courant, on parle fréquemment du mousseron mais en réalité, bien que faisant partie des champignons courants les plus appréciés, il s’agit du faux-mousseron (Marasmius oreades) de la famille des Marasmiacées, appelé aussi bouton de guêtres ou Marasme des Oréades.
Comment trouver et reconnaitre les mousserons ?
Les faux-mousserons se trouvent très facilement dans les prés et les pelouses ou tous autres endroits herbeux. On ne le trouve jamais seul mais toujours en groupes formant des ronds de sorcières. Il se ramasse entre juillet et novembre.
Il s’agit d’un petit champignon mesurant souvent autour de 5 cm de haut et au maximum 8 cm. Son chapeau de 2 à 5 cm de diamètre est de couleur crème allant de la nuance ocre pâle à orangé roussâtre. Il est un peu bosselé et parfois un peu ondulé sur le bord. La chair du champignon est relativement coriace, elle dégage une odeur d’amande amère. Les lames sont blanches, échancrées, assez épaisses et espacées, et son pied qui est plutôt fin et grêle (3 à 7 mm de diamètre) a une couleur plus foncée que les lames mais plus claire que le chapeau, avec une texture caoutchouteuse et tenace.
Le pied est tellement résistant que vous pourrez, en le tenant entre deux doigts, le tourner pour le couper, en vain : il ne rompra pas, vous devrez utiliser un couteau.
Le parcours arbre
En classe nous avions mémorisé les arbres , et nous sommes partis le 30 septembre 2020.
Sur le sentier, nous avons refait le parcours arbre avec la classe, en binôme sous un soleil merveilleux ! Nous avions une fiche qui nous aidait à reconnaître les arbres.
Nous avons reconnu tous les arbres du parcours sauf l’érable et le pommier sauvage. En fait, on ne regardait pas le bon arbre !
Mais bon, on n’en a quand même repéré 17 !
A la fin, on a pu se défouler en faisant un jeu de loup touche touche à l’entrée du sentier. C’était très agréable !
Mathis et Sahel
Le nouveau parcours géologique
Nous sommes allés au sentier le 23/9/2020 pour construire le nouveau parcours géologique.
Pour ne pas se perdre sur les millions d’années, nous avons trouvé un moyen : 1 mètre est égale a 4 millions d’années.
Nous sommes partis de la forêt des Schtroumpfs et nous avons mis des bouchons de liège avec des numéros de 0 à 14.
Nous avons fait l’apparition de l’homme, l’extinction des dinosaures… jusqu’à la formation de la terre.
Nous avions 2 élèves qui étaient géomètre. Ils mesuraient les longueurs avec 2 règles de 1m.
Mathis et Célian