Mardi 4 Mai les enfants de la classe maternelle sont allés sur le sentier nature. Ils ont rencontré Fabien, membre de la LPO qui leur a montré le fruit de sa pêche dans la mare du sentier.
Fabien a une autorisation qui lui permet de manipuler et relâcher les espèces protégées par la loi . Il faisait très attention en manipulant tous ces amphibiens. Il mouillait à chaque fois ses mains pour pour ne pas retirer leur mucus protecteur et ne pas transmettre de bactéries puis les remettait dans son seau. Il l’a fait de façon exceptionnelle et avec précaution (pour sensibiliser) car c’est la période de reproduction.
Il a montré une larve de salamandre, un têtard, des tritons, une larve de libellule.
Il a expliqué qu’il ne fallait surtout pas introduire de poisson dans une mare car celui-ci dévorerait les larves des petits animaux qu’il trouverait dans l’eau et il n’y aurait plus de grenouille, de libellule, de salamandre etc…
Il a expliqué comment différencier les tritons mâles des femelles. Les mâles ont des pâtes arrière palmées ce qui n’est pas le cas des femelles. Le triton alpestre qu’on a observé a un ventre orangé vif et des petits points jaunes.
La salamandre a des branchies sur les côtés qui lui permettent de respirer.
La larve de libellule a une arme secrète : sa mâchoire s’allonge pour attraper les têtards qu’elle veut manger. C’est impressionnant à voir.
Comme nous ne pouvons pas faire comme Fabien pour observer les habitants de la mare, il a proposé d’aménager les abords en posant quelques tuiles sur les côtés. Ainsi les salamandres ou les grenouilles auront la possibilité de s’y réfugier et ainsi en soulevant délicatement les tuiles nous aurons plus de chance de les observer sans les blesser ou détruire leur habitat.
dans l’école de Montmelas. Mardi nous sommes allés à la mare du sentier nature et nous avons vu des animaux qui habitent dans la mare. C’est un monsieur qui s’appelle Fabien qui nous a tout expliqué. Nous avons vu un tétard de crapaud accoucheur, un petit de salamandre et des tritons.
Voilà l’affiche que nous avons faite dans la classe pour nous rappeler de tout ! Vous pouvez lire tout ce qu’on a appris…
Mardi 4 mai, nous sommes allés sur le sentier nature, chaque classe (cycle 2, maternelles et cycle 3 sont passés à tour de rôle.. On est allé vers la mare. Fabien, intervenant de la LPO (Ligue Protectrice des oiseaux) nous attendait. Il nous a raconté la vie de la mare et de ses habitants pendant 40 minutes.
Lorsque la mare vieillit, il y a des végétaux qui apparaissent, c’est le cycle naturel d’une mare. En France, il y a de moins en moins de mare, 70 % des mares ont disparu en vingt ans. La faune de la mare disparait aussi, la plupart des espèces sont protégées.
Il ne faut pas mettre de poissons dans une mare. Cela risque de faire un déséquilibre, les poissons se reproduisent rapidement, ils mangent les autres espèces et ils étouffent la mare. Dans la mare qui ne sont pas à coté d’une rivière, c’est normal qu’il n’y ait pas de poissons. Dans les mares qui contiennent des poissons, l’eau est opaque.
Dans notre mare, il y a plus de vase que d’eau, il y a environ 80 cm de vase pour 40 cm d’eau ! Il n’y a pas de poissons mais il y a quand même beaucoup de vie ! Fabien a réussi a trouvé en 5 minutes des larves d’alyte accoucheur, de salamandre, de libellules, des tritons. On a aussi déjà vu des grenouilles agiles et des grenouilles rousses.
Nous avons observé la larve d’alyte accoucheur. La femelle met au monde des œufs puis les donne au mâle jusqu’à l’éclosion. C’est le seul amphibien où le mâle garde les œufs ! Le mâle met les œufs sur son dos comme un sac à dos !
L’alyte accoucheur
La larve de salamandre est jaune avec des points noirs. Elle a une tache blanche sur le haut de ses pattes. Elle a des branchies extérieures qui se rétractent au stade adulte, elle aura ensuite des poumons.
Larve de salamandre
La larve de libellule est un super prédateur des mares. Elle n’a pas de prédateurs sauf le martin-pêcheur et le héron s’ils n’ont rien d’autres à se mettre sous la dent. Sa couleur principale est le noire avec des taches vertes foncées ou argentées. Elle a une pince articulée sous la mâchoire pour attaquer les autres habitants de la mare. c’est son arme secrète ! Elle mange des têtards. Elle respire par l’arrière. Ce tube lui permet aussi de se propulser en soufflant.
Larve de libellule
Les tritons respirent sous l’eau, on voit des bulles remonter à la surface depuis l’endroit où ils se trouvent. Le mâle triton palmé a des palmes aux deux pattes arrière. Il est gris et noir. La femelle n’a pas les pattes palmées, elle porte les œufs.
Le triton alpestre a le ventre orange vif, il a une crête jaune qui reste debout seulement dans l’eau. Il a 4 pattes, sa tête ressemble à celle de la grenouille, il a une queue qui ressemble à celle du têtard. Il a des petites tâches jaunes. Il est assez rare.
le triton alpestre
Quand nous sommes arrivés, on a demandé à Fabien pourquoi il portait la veste de la LPO alors qu’il était là pour nous parler de la mare et des amphibiens. il nous a expliqué que les oiseaux sont les plus proches cousins des reptiles. Exemple: la poule a les pattes avec des écailles comme la plupart des reptiles.
Pendant la séance, des oiseaux chantaient. On avait l’impression d’être dans une forêt tropicale lorsqu’on fermait les yeux. On entendait un rossignol Philomène et une fauvette à tête noire.
Rossignol philomèle. Famille des Muscicapidés. Ordre : Passériformes
On a beaucoup apprécié cette visite et on a appris beaucoup de choses. Merci Fabien ! On attend avec impatience la prochaine animation.
Le 26 Mars, quelques parents et enfants se sont réunis devant l’école pour installer les panneaux sur le sentier nature. Les panneaux qui étaient à l’ école avaient été préparés sur le balcon pendant l’après-midi, nous avons tout chargé dans une voiture et nous sommes allés à la mairie. Nous avons pris les panneaux qui étaient dans la cave de la mairie. Nous les avons installés par terre pour changer les photos, réécrire ce qui ne se voyait pas bien. Beaucoup d’anciens élèves sont venus nous aider.
Alors, nous nous sommes séparés en deux groupes : un groupe était avec une brouette avec les premiers panneaux à installer et un deuxième groupe était en voiture, ils avaient beaucoup de panneaux à installer. Moi, j’étais avec le premier groupe, nous accrochions les panneaux au fur et à mesure que nous avancions mais d’un coup il a commencé à pleuvoir ! Alors nous avons décidé avec l’autre groupe que nous allions arrêter et continuer mardi 30 mars.
Mardi 30 Mars un petit groupe s’est réuni pour finir d’installer les panneaux. Nous avions tous un panneau, nous sommes restés en un groupe et nous les avons installés au fur et à mesure. Nous avons fini d’ installer tous les panneaux sur le sentier nature.
Au début David Bartholoméo nous a donné des plaques avec des feuilles de papier dessus. On devait tenir un feutre entre le majeur et l’index.
Le feutre bougeait au rythme de nos pas, au fur et à mesure que l’on marchait, le feutre faisait des formes bizarres. On se passait les feutres plusieurs fois. On a marché quelque temps.
Puis, on s’est arrêté pour faire le deuxième exercice. On devait repérer les sons qui nous entouraient. On fermait les yeux et on avait aussi deux feutres, un à gauche et un à droite. Si le son venait de droite, nous devions dessiner le son avec ce feutre.
Voici l’avis des élèves :
Lola : J’ai bien aimé le parcours avec les feutres !
Gabriel : Je n’ai pas aimé surtout quand on marchait à reculons !
Louis-martin : C’est reposant car le feutre glisse tout seul.
Mercredi 10 mars le matin, en entrant dans la classe, nous devions chercher des objets en bois que David avait caché. Nous avions trois objets : une fleur, une grenouille et un espèce d’arbre. Tout le monde a cherché les objets en bois, c’était super ! Donc, ce jour-là, nous devions aller sur le parcours « plante » et aussi observer la mare parce qu’ elle évolue. ( c’est très sympa à observer ! )
Ensuite nous sommes allés sur le sentier. Les élèves devaient retrouver et prendre des plantes qu’on avait nommées au début du sentier. Pendant ce temps, nous deux ( Sahel et Mathis ), avons observé une orite à longue queue.
Renseignement sur l’orite à longue queue:
Cet oiseau mesure 13 à 14, 5 cm (dont 8 à 9 cm pour la queue) pour une envergure de 17 à 18 cm et une masse de 6 à 10 g. C’est un minuscule oiseau avec une très longue queue et des petites ailes rondes, au ventre blanc légèrement rosé, à la tête blanche et grise avec, chez la grande majorité des individus vivant en France une bande noire du front à la nuque passant au-dessus de l’œil. Elle se nourrit essentiellement d’insectes, de quelques graines et de bourgeons à la mauvaise saison. Elle ne dédaigne pas les mangeoires en hiver.
On l’a considérée longtemps parmi les mésanges, mais elle a la taille d’un troglodyte mignon et avec une longue queue. Elle n’a pas la taille d’une mésange, du coup on ne la considère plus parmi les mésanges. Son nom a changé, on l’appelle désormais l’orite à longue queue.
Elle se déplace en petits groupes.
Voici une orite à longue queue.
Voici l’orite à longue queue avec ses poussins !
Voici un oisilon orite à longue queue.
Commentaires:
Ana: C’était très bien, j’ai vu une orite à longue queue !
Mathis: J’ai vu une orite a longue queue avec Sahel et j’ai trouvé cette journée très bien.
Sahel: J’ai observé une orite à longue queue avec Mathis, c’était la première fois que j’en voyais une sur le sentier nature !
Mercredi 24 février, nous sommes allés sur le sentier nature. On a fait le parcours insectes, et on a répondu aux questions. Nous avons trouvé des poils de blaireau.
Voici la photo:
Nous sommes passés devant un châtaigner, il y avait des trous.
Voici la photo de l’arbre :
Devinez quel oiseau a fait ces trous.
Nous pensons que ces trous ont été faits par un pic épeiche.
La photo de cet oiseau :
Voici des renseignements sur l’oiseau:
Le Pic épeiche est l’espèce de pics la plus répandue et la plus commune en Europe et dans le Nord de l’Asie. Faisant partie des pics de taille moyenne, il se caractérise par un plumage rayé de blanc et de noir et une tache rouge écarlate sur le bas-ventre près de la queue. Chaque année, au printemps, cet oiseau choisit un tronc d’arbre,et il attaque vaillamment le bois à coup de bec. En quelques semaines, il, creuse une belle cavité au cœur de l’arbre.
Le mercredi 3 février , nous sommes allés sur le sentier nature. Les enfants ont travaillé sur les plantes , ils devaient ramasser différentes plantes : le plantain , la mauve , ail des vignes achillée mille feuille , pissenlit ,trèfle, pimprenelle, lierre .
En plus les enfant devaient identifier les oiseaux qu’ils entendaient . Certains avaient apporté leurs jumelles pour mieux les voir . Ceux qui avaient le temps ont observé la mare. Plusieurs enfants ont vu des grenouilles.
Ensuite, nous (Roman et Daniel) avons pris des photos de la mare. Elle a débordée à cause de la pluie des jours précédents; L’eau a dépassé la barrière.
Les élèves ont planté les osiers dans le jardins de l’école. 4 osiers ont été plantés sur le sentier dans le nid le plus bas.
« J’ai trouvé chouette de pouvoir observer la mare qui déborde ! » Daniel.
« C’était super de pouvoir se promener sur le sentier et pouvoir observer la mare, on a vu des grenouilles ! »
« Avec Nolan, on avait emmené un thermomètre. On a mesuré la température de l’eau de la mare. Elle était à 12°C. On a mesuré aussi la température de la cascade, elle était à 3°C. » Clément
« J’ai bien aimé la cascade parce que l’eau giclait de partout ! On a réussi à trouver toutes les plantes. On a entendu un oiseau. on a mis des graines dans les mangeoires. » Louis- Martin.
« J’ai bien aimé découvrir une belle cascade, elle était extraordinaire parce qu’il avait un petit trou et l’eau passait dans une pierre. On atout trouvé les plantes sauf la ciboulette. On a entendu 2 oiseaux dont une poule. J’ai vu un oiseau gris mais je ne l’ai pas reconnu. » Gabriel
Mercredi 20 janvier, nous sommes allés sur le sentier nature. Nous avons fait le parcours plantes. Quand nous passions devant une plante, le binôme qui l’avait choisi, devait lire des renseignements à l’aide d’un petit carnet.
On va vous parler de plusieurs plantes.
Commençons par le lichen.
Voici une photo:
Le lichen est le premier végétal sur terre.
L’ail des vignes
Voici une photo:
C’est une plante à floraison estivale, aux fleurs rose en ombelles. L’ombelle porte des bulbilles rosées à bordeaux, généralement plus nombreuses que les fleurs. On peut manger la racine (le bulbe), elle a un goût parfumé et piquant.
La ciboulette
La ciboulette, appelée aussi civette, appétit, fausse échalote, est une plante vivace, avec des bulbilles, aux feuilles creuses et effilées, qui forme une touffe. Elle est utilisée en cuisine lorsque l’on veut apporter une douce saveur légèrement aillée.
Voici la photo de la mare !
Voici une photo du nouveau panneau que le Géoparc Beaujolais a installé.
Mercredi 6 janvier, les enfants sont allés sur le sentier nature pour ramasser de quoi aménager le nid de l’école, en plus les enfants pouvaient observer les oiseaux grâce à une fiche de reconnaissance que Fabien Dubois de la LPO (ligue de la protection des oiseau) nous a donnée.
Les enfants devaient ramasser : des branches de lierres , des feuilles du chêne et de la mousse. Ensemble, nous avons pris en photo une étrange boule .
voici la boule bizarre appeler cynips
Nous pensons que c’est un nid de guêpe cette étrange boule ! Elle était accroché sur un églantier . On a fait des recherches.
L’églantier est un arbuste épineux de 2 à 3 mètres de hauteur, qui se développe au bord des pâtures et dans les taillis. Cette espèce, beaucoup plus répandue autrefois, lorsque la campagne était parsemée de haies, se distingue par une ravissante floraison de mai à juillet.
Quant à ses galles, sortes de boules chevelues qu’on rencontre souvent sur les tiges de l’églantier, ce sont les « bédégars ». Le bédégar est l’œuvre d’une guêpe appelée « cynips de l’églantier« : elle injecte dans la plante un mystérieux liquide et y pond ses œufs.
voici une pierre glacéevoici le tas de lierre collecté par les enfants
les avis des élèves pour la collecte :
Clément : c’était trop bien de reconnaître les oiseaux !
Charlotte : j’ai bien aimé ramasser de la mousse !
Ensuite, en rentrant à l’école, chaque élève a déposé une petite tige d’osier dans de l’eau. Nous allons voir si des racines se développent. Nous commenceront bientôt un atelier vannerie avec Paul.
Mercredi 16 décembre, nous sommes allés sur le sentier pour aménager les nids. Il y avait beaucoup de brouillard et il faisait froid mais heureusement, on était bien habillés.
dav
On a fait trois groupes : les mésanges bleues, les aigles royaux et les paons.
Les mésanges bleues ont commencé sur les nids. En attendant, les aigles royaux et les paons faisaient le jeu des questions en étoile. Il y avait quatre domaines : les arbres, les plantes, les insectes et les tables d’orientation.
Nous avons observé le petit ruisseau. Nous avons passé beaucoup de temps sur le ruisseau car on a remarqué qu’il y avait des petites cascades. L’eau frappait sur un caillou, elle éclaboussait et faisait un jet d’eau.
Pour traverser, ce n’était pas facile…
La mare a débordé un peu sur le chemin. Il a beaucoup plu ces derniers temps.
On a pris des photos de la mare. Nous allons l’observer au fil des semaines. Nous prendrons une photo à chaque sortie sur le sentier.
Il y avait Valérie sur le sentier qui prenait des photo il y aura peut être un article sur le patriote et sur radio calade.
Mercredi 9 décembre, nous sommes allés sur le sentier nature, David Bartoloméo est venu avec nous. Nous nous sommes séparés en trois groupes, deux répondaient aux questions sur le parcours conte et un groupe consolidait les nids avec David Bartoloméo.
VOICI UNE PHOTO DES ENFANTS CONSOLIDANT LES NIDS.
Ceux qui étaient sur le parcours conte devaient répondre à des questions d’observation. Par exemple : Quelle est la couleur de… ? ou Combien il y a de… ?
Pour le groupe des nids, ils consolidaient les constructions en poussant une branche dans le nid pour bien faire l’arrondi. Des élèves ramassaient de la mousse pour que ce soit plus confortable.
LE TAS DE MOUSSES ET DE FEUILLES.VOICI DES ENFANTS QUI RAMASSENT DE LA MOUSSE.
Nous avons vus un moineau vers les mangeoires.
Voici nos recherches (extrait du livre « tout connaitre sur les oiseaux » éditions Auzou.
Le mercredi 3 décembre nous sommes allés sur le sentier. Nous avons fait le parcours faune et on a répondu aux questions, à l’aide des panneaux, sur le sanglier, le blaireau, le chevreuil, le lièvre, le renard, l’écureuil.
ll y a des enfants qui ont trouvé des traces d’animaux:
des coulées (passage d’animaux)
des glands mangés
une crotte
des poils.
voici une crotte:
voici des poils:
Voici des glands mangés :
Nous avons fait des recherches. Il semblerait que la crotte et les poils proviendraient d’une martre ou d’une fouine.
Renseignement sur la fouine: La fouine est une espèce de mammifère carnivore d’Europe et d’Asie, au pelage gris-brun, courte sur patte et de mœurs nocturne . C’est une martre faisant partie de la famille des Mestelites, au même titre que la belette, le blaireau, la loutre, le putois ou le furet, petits mammifères carnivores se caractérisant souvent par leur odeur forte.
Renseignement sur la martre: Elle fait partie des mammifères. La martre est un animal au pelage marron. Elle ressemble à la fouine, mais elle possède des oreilles plus larges. Sa durée de vie ne dépasse pas 18 ans. La Martre est la plupart du temps silencieuse mais il lui arrive de pousser des cris « tok tok tok ». Et c’est impossible de distinguer la fouine et la martre avec les yeux par contre, la fouine laisse ses crottes dans les greniers, alors que la martre les dépose toujours en pleine nature. Longueur de ses crottes : 8 à 10 cm.
Samedi 2 décembre, plusieurs adultes et quelques élèves de la classe nous ont aidés à transporter cinq nids sur le sentier nature. Avec le tracteur et la remorque du papa de Célian, nous avons mis les nids près de l’observatoire en hauteur.
Il y avais cinq groupes : le 1er groupe est resté à l’école pour mettre les nids sur la remorque, le 2ème creusait pour faire des plats pour les nids (le terrain est en pente), le 3ème faisait des mosaïques avec des tuiles pour faire plus joli, un autre groupe enlevait les panneaux du parcours animaux et oiseaux et le dernier groupe a repeint quelques panneaux de géographie.
» C’était très bien, on a préparé le sentier pour l’hiver ! » Toineau
» C’était drôle, on a très bien installé les nids et je suis fier de notre travail ! » Clément
Mercredi 25 novembre, nous sommes allés sur le sentier, les élèves ont suivi une feuille de géographie. Pendant ce temps, nous avons trouvé une sorte de boule noire qui était enfoncée dans la terre, nous l’avons sortie du sol, on a fait des recherches et c’est une crotte de chevreuil. Voici la photo :
Voici notre recherche sur les crottes de chevreuil:
Les crottes du Chevreuil.
Les crottes du Chevreuil sont appelées moquettes, elles sont relativement petites.
Sur le sentier, nous avons trouvé un chemin mystérieux. Il est sous la tour d’observation. Nous sommes allés dans le passage avec Ana, Lola, Jade et Toineau. Puis, Clément et Nolan nous ont rejoints.
Voici une photo de l’entrée du chemin.
Ce chemin n’ a pas été fait par des animaux car on a remarqué des traces de sécateurs. Puis, nous avons découvert que c’est Roman qui l’avait construit avec ses amis.
J’ai bien aimé le chemin parce qu’on a découvert un passage et c’était magnifique. Ana
-J’ai bien aimé à la fin du petit chemin parce qu’il y avait du givre sur du bois. Lola
Voila le givre sur les bois.
Voici la vue du passage secret sous la tour d’ observation.
Nous allons faire des réparations : un panneau sur les contes et un panneau sur les insectes sont tombés.
Avec la classe, on a fait de la géographie. Nous devions trouver des directions de villes et de pays partout dans le monde. Nous devions aussi trouver les kilomètres qui séparent Montmelas et les pays que nous cherchions.
Sur le chemin, nous avons trouvé un nid de guêpes dans un trou sous la terre.
Nous avons cherché des renseignements sur les guêpes, les voici ci dessous :
A la fin de l’été, les œufs donnent des mâles et des femelles fertiles qui seront fécondées…
Aux premiers froids, le nid périclite et toute la colonie disparaît ; seules les femelles fécondées hivernent dans un abri naturel.
Les nids sont fabriqués à partir de bois d’origines diverses, transformés en papier par trituration. Achevés, ils sont de forme et de tailles variables et peuvent contenir de quelques dizaines à plusieurs milliers d’individus, selon l’espèce. Apparents ou cachés, on les rencontre dans les endroits les plus variés : tronc d’arbres creux, coffrages de volets roulants, cheminées, greniers… à la cime des arbres aussi bien que dans le sol. On les repère surtout grâce aux allées et venues diurnes des ouvrières qui peuvent aller chercher leur nourriture assez loin du nid.
Les besoins en nourriture sont doubles : des substances carnées pour les larves (cadavres d’insectes, fragments de viande …) et des matières sucrées (fruits) et protéines animales ou végétales (pollens) pour les adultes.
Pour nourrir les larves, les adultes capturent des quantités très importantes de mouches, chenilles et autres insectes (moustiques…)