la boule bizarre !

Mercredi 6 janvier, les enfants sont allés sur le sentier nature pour ramasser de quoi aménager le nid de l’école, en plus les enfants pouvaient observer les oiseaux grâce à une fiche de reconnaissance que Fabien Dubois de la LPO (ligue de la protection des oiseau) nous a donnée.

Les enfants devaient ramasser : des branches de lierres , des feuilles du chêne et de la mousse. Ensemble, nous avons pris en photo une étrange boule .

voici la boule bizarre appeler cynips

Nous pensons que c’est un nid de guêpe cette étrange boule ! Elle était accroché sur un églantier . On a fait des recherches.

L’églantier est un arbuste épineux de 2 à 3 mètres de hauteur, qui se développe au bord des pâtures et dans les taillis. Cette espèce, beaucoup plus répandue autrefois, lorsque la campagne était parsemée de haies, se distingue par une ravissante floraison de mai à juillet.

Quant à ses galles, sortes de boules chevelues qu’on rencontre souvent sur les tiges de l’églantier, ce sont les « bédégars ». Le bédégar est l’œuvre d’une guêpe appelée « cynips de l’églantier« : elle injecte dans la plante un mystérieux liquide et y pond ses œufs.

voici une pierre glacée
voici le tas de lierre collecté par les enfants

les avis des élèves pour la collecte :

Clément : c’était trop bien de reconnaître les oiseaux !

Charlotte : j’ai bien aimé ramasser de la mousse !

Ensuite, en rentrant à l’école, chaque élève a déposé une petite tige d’osier dans de l’eau. Nous allons voir si des racines se développent. Nous commenceront bientôt un atelier vannerie avec Paul.

les plantations d’osier

Jumana et Gabriel

La cascade dans le ruisseau

Mercredi 16 décembre, nous sommes allés sur le sentier pour aménager les nids. Il y avait beaucoup de brouillard et il faisait froid mais heureusement, on était bien habillés.

dav

On a fait trois groupes : les mésanges bleues, les aigles royaux et les paons.

Les mésanges bleues ont commencé sur les nids. En attendant, les aigles royaux et les paons faisaient le jeu des questions en étoile. Il y avait quatre domaines : les arbres, les plantes, les insectes et les tables d’orientation.

Nous avons observé le petit ruisseau. Nous avons passé beaucoup de temps sur le ruisseau car on a remarqué qu’il y avait des petites cascades. L’eau frappait sur un caillou, elle éclaboussait et faisait un jet d’eau.

Pour traverser, ce n’était pas facile…

La mare a débordé un peu sur le chemin. Il a beaucoup plu ces derniers temps.

On a pris des photos de la mare. Nous allons l’observer au fil des semaines. Nous prendrons une photo à chaque sortie sur le sentier.

Il y avait Valérie sur le sentier qui prenait des photo il y aura peut être un article sur le patriote et sur radio calade.

Célian et Amaury

La consolidation des nids

Mercredi 9 décembre, nous sommes allés sur le sentier nature, David Bartoloméo est venu avec nous. Nous nous sommes séparés en trois groupes, deux répondaient aux questions sur le parcours conte et un groupe consolidait les nids avec David Bartoloméo.

VOICI UNE PHOTO DES ENFANTS CONSOLIDANT LES NIDS.

Ceux qui étaient sur le parcours conte devaient répondre à des questions d’observation. Par exemple : Quelle est la couleur de… ? ou Combien il y a de… ?

Pour le groupe des nids, ils consolidaient les constructions en poussant une branche dans le nid pour bien faire l’arrondi. Des élèves ramassaient de la mousse pour que ce soit plus confortable.

LE TAS DE MOUSSES ET DE FEUILLES.
VOICI DES ENFANTS QUI RAMASSENT DE LA MOUSSE.

Nous avons vus un moineau vers les mangeoires.

Voici nos recherches (extrait du livre « tout connaitre sur les oiseaux » éditions Auzou.

Louis-Martin et Charlotte

découverte sur le parcours faune

Le mercredi 3 décembre nous sommes allés sur le sentier. Nous avons fait le parcours faune et on a répondu aux questions, à l’aide des panneaux, sur le sanglier, le blaireau, le chevreuil, le lièvre, le renard, l’écureuil.

ll y a des enfants qui ont trouvé des traces d’animaux:

des coulées (passage d’animaux)

des glands mangés

une crotte

des poils.

voici une crotte:

voici des poils:

Voici des glands mangés :

Nous avons fait des recherches. Il semblerait que la crotte et les poils proviendraient d’une martre ou d’une fouine.

Renseignement sur la fouine: La fouine est une espèce de mammifère carnivore d’Europe et d’Asie, au pelage gris-brun, courte sur patte et de mœurs nocturne . C’est une martre faisant partie de la famille des Mestelites, au même titre que la belette, le blaireau, la loutre, le putois ou le furet, petits mammifères carnivores se caractérisant souvent par leur odeur forte.

Renseignement sur la martre: Elle fait partie des mammifères. La martre est un animal au pelage marron. Elle ressemble à la fouine, mais elle possède des oreilles plus larges. Sa durée de vie ne dépasse pas 18 ans. La Martre est la plupart du temps silencieuse mais il lui arrive de pousser des cris « tok tok tok ». Et c’est impossible de distinguer la fouine et la martre avec les yeux par contre, la fouine laisse ses crottes dans les greniers, alors que la martre les dépose toujours en pleine nature. Longueur de ses crottes : 8 à 10 cm.

Ana et Jade

LE TRANSPORT DES NIDS

Samedi 2 décembre, plusieurs adultes et quelques élèves de la classe nous ont aidés à transporter cinq nids sur le sentier nature. Avec le tracteur et la remorque du papa de Célian, nous avons mis les nids près de l’observatoire en hauteur.

Il y avais cinq groupes : le 1er groupe est resté à l’école pour mettre les nids sur la remorque, le 2ème creusait pour faire des plats pour les nids (le terrain est en pente), le 3ème faisait des mosaïques avec des tuiles pour faire plus joli, un autre groupe enlevait les panneaux du parcours animaux et oiseaux et le dernier groupe a repeint quelques panneaux de géographie.

 » C’était très bien, on a préparé le sentier pour l’hiver ! » Toineau

 » C’était drôle, on a très bien installé les nids et je suis fier de notre travail ! » Clément

Toineau et Clément 👽👽

le chemin mystérieux

Mercredi 25 novembre, nous sommes allés sur le sentier, les élèves ont suivi une feuille de géographie. Pendant ce temps, nous avons trouvé une sorte de boule noire qui était enfoncée dans la terre, nous l’avons sortie du sol, on a fait des recherches et c’est une crotte de chevreuil. Voici la photo :

Voici notre recherche sur les crottes de chevreuil:

Les crottes du Chevreuil.

Les crottes du Chevreuil sont appelées moquettes, elles sont relativement petites.

EXTRAIT DU SITE : un regard différent sur la nature

Sur le sentier, nous avons trouvé un chemin mystérieux. Il est sous la tour d’observation. Nous sommes allés dans le passage avec Ana, Lola, Jade et Toineau. Puis, Clément et Nolan nous ont rejoints.

Voici une photo de l’entrée du chemin.

Ce chemin n’ a pas été fait par des animaux car on a remarqué des traces de sécateurs. Puis, nous avons découvert que c’est Roman qui l’avait construit avec ses amis.

  • J’ai bien aimé le chemin parce qu’on a découvert un passage et c’était magnifique. Ana

-J’ai bien aimé à la fin du petit chemin parce qu’il y avait du givre sur du bois. Lola

Voila le givre sur les bois.

Voici la vue du passage secret sous la tour d’ observation.

Nous allons faire des réparations : un panneau sur les contes et un panneau sur les insectes sont tombés.

Inès et Sarah

Un peu de géographie sur le sentier nature

Avec la classe, on a fait de la géographie. Nous devions trouver des directions de villes et de pays partout dans le monde. Nous devions aussi trouver les kilomètres qui séparent Montmelas et les pays que nous cherchions.

Sur le chemin, nous avons trouvé un nid de guêpes dans un trou sous la terre.

Nous avons cherché des renseignements sur les guêpes, les voici ci dessous :

A la fin de l’été, les œufs donnent des mâles et des femelles fertiles qui seront fécondées…

Aux premiers froids, le nid périclite et toute la colonie disparaît ; seules les femelles fécondées hivernent dans un abri naturel.

Les nids sont fabriqués à partir de bois d’origines diverses, transformés en papier par trituration. Achevés, ils sont de forme et de tailles variables et peuvent contenir de quelques dizaines à plusieurs milliers d’individus, selon l’espèce. Apparents ou cachés, on les rencontre dans les endroits les plus variés : tronc d’arbres creux, coffrages de volets roulants, cheminées, greniers… à la cime des arbres aussi bien que dans le sol. On les repère surtout grâce aux allées et venues diurnes des ouvrières qui peuvent aller chercher leur nourriture assez loin du nid.

Les besoins en nourriture sont doubles : des substances carnées pour les larves (cadavres d’insectes, fragments de viande …) et des matières sucrées (fruits) et protéines animales ou végétales (pollens) pour les adultes.

Pour nourrir les larves, les adultes capturent des quantités très importantes de mouches, chenilles et autres insectes (moustiques…)

mer de glands…

Nolan et Clément 🤠🤠

Les nids d’oiseau géants

Lundi 9 novembre un plasticien est venu à l’école. Il nous a appris comment faire des nids pour les oiseaux et les animaux.

-Jonas : j’ai bien aimé faire les nids.

-Jumana : j’ai trouvé que c’était très instructif.

-Inès : j’ai bien aimé faire les nids.

-Elisa : j’ai bien aimé de faire les nids et de travailler en équipe.

-Mathis : j’ai bien aimé la construction des nids et le travail d’équipe.

Jonas et Elisa

Le chant mélodieux de la mésange charbonnière!

Nous sommes partis le 4 novembre 2020, nous avons fait le parcours oiseaux accompagné d’une feuille de reconnaissance des volatiles. Chaque élève devait : sois répondre à un Quizz ou faire une petite présentation à la classe sur un oiseau précis.

Pendant ce temps, nous deux, nous avons écouté les oiseaux et nous avons entendu une mésange charbonnière. Quand tous les élèves avaient fini ce qu’ils devaient faire, nous nous sommes rassemblé pour remplir les mangeoires.

Les mangeoires remplies, nous sommes repartis à l’école et pour ceux qui avaient envie de courir jusqu’au départ du sentier, c’était possible. Une fois en classe, nous avons corrigé le Quizz sur les oiseaux.

– J’ai bien aimé et j’ai découvert des renseignements sur la pie bavarde : son poids, ce qu’elle mange…

Gabriel

– J’ai bien aimé écouter les oiseaux et courir à la fin.

Sahel

-J’ai bien aimé faire le parcours oiseaux et écouter les petites bêtes volantes !

Mathis

La mésange charbonnière et la mésange bleue (030) – Natuurverhalen

Voici le chant de la mésange charbonnière, un document crée par la LPO  » LePetitOrnitho » !

https://www.youtube.com/watch?v=1g3n6Zaqid8

Quelques renseignements sur la mésange charbonnière

La mésange charbonnière est l’une des mésanges les plus grandes et lourdes (14 cm pour une envergure de 23 à 26 cm et une masse de 16 à 21 g), de la taille d’un moineau domestique.

Elle se caractérise par sa calotte noire, ses joues blanches, son dos verdâtre et une bande noire (ou « cravate ») tout le long de la poitrine et du ventre jaune. Cette bande est moins large chez la femelle que chez le mâle.

En période de reproduction (printemps et été), son régime alimentaire est essentiellement insectivore, ce qui explique la spécialisation de son bec court adapté à ce régime. La mésange se nourrit particulièrement de petits invertébrés (blattes, sauterelles, criquets, demoiselles, petites libellules, chrysopes, perce-oreilles, punaises, fourmis, mille-pattes, mites, papillons de nuit, mouches, abeilles, guêpes, coléoptères, araignées, opilions, escargots, cloportes), de larves, de petits fruits et de graines (notamment du hêtre et du noisetier).

C’est un oiseau grégaire : en dehors de périodes de nidification, elle vit en groupe avec d’autres mésanges. Bien qu’il lui arrive parfois d’intimider ses congénères en écartant les ailes pour s’approprier une source de nourriture. C’est une visiteuse habituelle des mangeoires en hiver.

Mathis et Sahel

Travaux sur le sentier

Samedi 10 octobre, nous sommes allés sur le sentier. Nous avons planté les piquets du nouveau parcours géologique ! Il ne restera plus qu’à mettre les panneaux ! On a aussi remis quelques installations du sentier. Les parents ont refait les barrières de la mare et ont débroussaillé le nouvel accès. Les enfants ont fabriqué des cabanes.

Clément et Gabriel

Le bois mystérieux

Quand je suis sorti de ma maison, pour aller jouer, j’ai trouvé un bois. Puis je suis allé à l’école, j’ai présenté ce bois que je ne connaissais pas. Sahel est aller faire une recherche et il a trouvé, c’était un bois de chevreuil !

Sahel et Daniel

le parcours oiseaux

Nous sommes allés faire le parcours « oiseaux « . Les élèves devaient répondre à des questions sur les oiseaux. Les élèves travaillaient en binômes, nous les avons trouvé bien concentrés .

On a repéré plusieurs choses étonnantes. On a vu la petite cascade avec de l’eau, on pense que c’est parce qu’il a beaucoup plu ces derniers jours.

On a vu des champignons dans les prés vers la table d’orientation.

Après une recherche sur les champignons , on pense que ces champignons sont des mousserons d’Automne.

Victor et Maxence

Le mousseron ou plutôt le faux-mousseron, champignon des prés

Dans le langage courant, on parle fréquemment du mousseron mais en réalité, bien que faisant partie des champignons courants les plus appréciés, il s’agit du faux-mousseron (Marasmius oreades) de la famille des Marasmiacées, appelé aussi bouton de guêtres ou Marasme des Oréades.

Comment trouver et reconnaitre les mousserons ?

Les faux-mousserons se trouvent très facilement dans les prés et les pelouses ou tous autres endroits herbeux. On ne le trouve jamais seul mais toujours en groupes formant des ronds de sorcières. Il se ramasse entre juillet et novembre.

Il s’agit d’un petit champignon mesurant souvent autour de 5 cm de haut et au maximum 8 cm. Son chapeau de 2 à 5 cm de diamètre est de couleur crème allant de la nuance ocre pâle à orangé roussâtre. Il est un peu bosselé et parfois un peu ondulé sur le bord. La chair du champignon est relativement coriace, elle dégage une odeur d’amande amère. Les lames sont blanches, échancrées, assez épaisses et espacées, et son pied qui est plutôt fin et grêle (3 à 7 mm de diamètre) a une couleur plus foncée que les lames mais plus claire que le chapeau, avec une texture caoutchouteuse et tenace.

Le pied est tellement résistant que vous pourrez, en le tenant entre deux doigts, le tourner pour le couper, en vain : il ne rompra pas, vous devrez utiliser un couteau.

faux-mousseron (Marasmius oreades)

Le parcours arbre

En classe nous avions mémorisé les arbres , et nous sommes partis le 30 septembre 2020.

Sur le sentier, nous avons refait le parcours arbre avec la classe, en binôme sous un soleil merveilleux ! Nous avions une fiche qui nous aidait à reconnaître les arbres.

Nous avons reconnu tous les arbres du parcours sauf l’érable et le pommier sauvage. En fait, on ne regardait pas le bon arbre !

Mais bon, on n’en a quand même repéré 17 !

A la fin, on a pu se défouler en faisant un jeu de loup touche touche à l’entrée du sentier. C’était très agréable !

Mathis et Sahel

Le nouveau parcours géologique

Nous sommes allés au sentier le 23/9/2020 pour construire le nouveau parcours géologique.

Pour ne pas se perdre sur les millions d’années, nous avons trouvé un moyen : 1 mètre est égale a 4 millions d’années.

Nous sommes partis de la forêt des Schtroumpfs et nous avons mis des bouchons de liège avec des numéros de 0 à 14.

Nous avons fait l’apparition de l’homme, l’extinction des dinosaures… jusqu’à la formation de la terre.

Nous avions 2 élèves qui étaient géomètre. Ils mesuraient les longueurs avec 2 règles de 1m.

Mathis et Célian

Mercredi 16 septembre

Mercredi 16 septembre on est allé sur le sentier nature. Le maître nous a donné deux consignes : ne pas parler et de ramasser quelque chose de la nature que l’on ne connait pas.

Il y a beaucoup de parcours comme le parcours plantes, le parcours insectes. On avait des fiches pour répondre aux questions sur les arbres.

Elisa et Jonas.

Les arbres

Mercredi 9 septembre nous sommes allés sur le sentier nature. Nous avons fait le parcours arbre . Le maître nous a donné des fiches pour reconnaître les arbres. Nous devions trouver le nom de deux arbres, ramasser une feuille et son fruit (si il y en avait) et prendre l’empreinte de l’écorce.

Clément a trouvé un drôle de cocon sur une feuille de chêne, voici une photo :

Après des recherches, voici ce que nous avons trouvé :

Gros plan sur les galles des chênes

la noix de galle, une des galles
les plus fréquentes

Vous avez sans doute remarqué la présence sur les chênes de petites sphères en bois de la grosseur d’une bille ou de drôles de « champignons visqueux » marrons-rouges comme collés sur les glands. Il existe une grande variété de ces objets naturels fixés sur les fleurs, les fruits, les bourgeons ou les feuilles des chênes. On les appelle des galles ou cécidies, et voici leur origine.

RÉACTIONS EN CHÊNE ..

Lorsqu’un moustique nous pique, notre corps réagit à cette intrusion par la formation d’un bouton, nous appelons ceci une allergie. Chez les plantes sans parler d’allergie il existe aussi des réactions à la piqûre de certains insectes, on parle dans ce cas de galle. Les galles font partie des partenariats étranges entre des insectes et des plantes. C’est la famille des Cynipidés qui compte le plus d’espèces provoquant des galles sur les chênes (on dit qu’elles sont cécidogènes). Ces insectes sont des petites guêpes de la taille d’un moucheron. Fait étrange, il existe autant de formes de galle que d’espèces de cynips, il est donc possible, sans avoir vu l’animal de connaitre le responsable d’une galle. Mais pourquoi des insectes viendraient-ils piquer un arbre ?

LORSQUE LA PLANTE SE TRANSFORME EN NOURRICE.

L’insecte vient sur l’arbre pour y déposer sa ponte. Le choix de la zone de ponte va dépendre de la saison et de l’espèce. Bougeons, feuilles, fleurs ou glands sont les zones cibles. L’intérêt de la galle pour l’insecte est qu’elle va isoler la ponte et par la même la protéger. Les oeufs seront à l’abri et mieux encore, les larves pourront même se nourrir de la galle durant leur développement.

À CHAQUE ESPÈCE SA GALLE.

Chaque espèce pouvant provoquer une ou plusieurs galles on va trouver sur les chênes une grande diversité de formes de la galle en pomme de chêne, à la galle en lentille, en casque de lancier ou en bouton de guêtre. Vous retrouverez tous ces exemples dans le guide des galles en suivant ce lien..

DES CYCLES DE VIE SOUVENT COMPLEXES

Les cynipidés peuvent avoir deux générations par an et 2 galles différentes (une pour chaque saison). Chez l’espèce Neuroterus quercusbaccarum, la première ponte à lieu en été sur les feuilles de chêne blanc. Elle aboutit à la formation de galles en lentilles qui se détachent et se retrouvent au sol dans la litière pendant l’hiver. De ces galles sortent uniquement des femelles au début du printemps. Cette génération pond dans les écailles des bourgeons avant qu’ils ne s’ouvrent. S’en suit l’apparition de galles en groseille sur les chatons mâles (fleurs). Ces nouvelles galles libèrent une génération de mâles et de femelles au début de l’été et le cycle recommence. Un tel cycle se retrouve chez l’espèce provoquant les galles rouges sur les feuilles ou les chatons du chêne kermès au printemps (Plagiotrochus quercusilicis ), la seconde génération provoque des renflements au niveau des tiges en automne.

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retour sur le sentier

Mercredi 2 septembre, nous sommes allés sur le sentier nature. Nous avons fait le parcours « arbre », nous avons observé s’ il y avait des choses ou des matériaux abîmés. Nous avons agrafé des fiches plastifiées pour que les visiteurs puissent laisser des commentaires sur le blog du sentier.

Dans la classe, nous avons choisi des responsables du sentier, il y a : Gabriel, Louis -martin, Elisa, et Jumana.

Voici une liste des choses à réparer sur le sentier : deux panneaux plantes sont cassés : l’ophorbe et la menthe sauvage. Il y a quelques déchets à ramasser, deux cylindres coulissent mal, la menthe religieuse et l’ abeille. La larve de la cétoine dorée et la photo de la chouette manquent.

Le nouveau parcours Géologique

Bonjour, aujourd’hui nous vous proposons des liens pour accéder à nos exposés géologiques. Comme vous le savez déjà, nous créons un parcours géologique. Nous avons visualisé le parcours et les CM1 / CM2 sont en train de faire des exposés.

Exposé de Agathe

les plaques tectoniques

Exposé de Louis-Martin

la roche plutonique

Exposé de Zoé

https://app.genial.ly/editor/5ecd2a07572ef10daf383f10

  • Exposé sur les premières plantes terrestres.

exposé de Adam https://app.genial.ly/editor/5ef061c7aece9c0d7cf1385c

Sur la formation de la Terre

Exposé de Célian

https://app.genial.ly/editor/5eb4241e2fb48d0d930b57f9

Exposé sur les premier Dinosaure

Exposé de Bastien https://app.genial.ly/editor/5ea15b9342b8b70da80ef9a0

Sur l’érosion.

https://app.genial.ly/editor/5ea15b9342b8b70da80ef9a0

Le sentier nature du Jeudi 11 juin

Bonjour, le Jeudi 11 juin, nous sommes allés au sentier nature .

Nous avons observé et dessiné des insectes et David nous a donné des fiches avec des questions sur les panneaux des insectes .

Vous pouvez retrouver ces quizz sous le porche de la mairie.

Ana: j’ai bien aimé car j’ai vu un nouvel insecte !

Trichodes alvearius, le trichode des ruches ou clairon, est une espèce d’insectes coléoptères de la famille des Cleridae.
Description
Taille de 9 à 17 mm. Élytres rouge et bleu métallique très sombre. Pilosité importante. Abdomen bleuté.
Il chasse parfois et se nourrit de proies constituées majoritairement d’espèces des genres Oedemera, Psilothrix, Stenopterus et Clytus. Les larves vivent dans les nids d’hyménoptères dont elles dévorent les larves, d’où le nom alvearius qui désigne les alvéoles des ruches. L’imago (stade final de l’individu) est visible de mai à août.

Très commun. Nord de l’Espagne, Italie, France, Belgique, Luxembourg, Allemagne et Suisse.

Elisa : j’ai bien aimé car j’ai trouvé des renseignements sur la libellule.

Louis-martin: j’ai bien aimé faire un tour sur le parcours insectes.

Clément