Lundi 15 novembre, nous sommes allés au sentier nature, nous avons fait le parcours des arbres. A chaque numéro d’arbre, nous devions trouver leur nom, l’écrire sur une fiche et ramasser une feuille. Vu que c’est l’automne, on voyait des tapis de feuilles !
En même temps, nous devions trouver des traces d’animaux, par exemple : des frottis de chevreuil, des coups de nez de sanglier, des souilles et des crottes…
C’était super beau, on voyait plein de feuilles qui tombaient, c’était génial !
Les avis des élèves :
Léane : C’était super ! On voyait plein de feuilles par terre !
Clélia : C’était bien et je me suis beaucoup amusée mais je n’arrivais pas à trouver les noms des arbres !
Roman : J’ai bien aimé chercher les traces d’animaux, c’était super !
A la rentrée des vacances , nous avons fait une animation sur la forêt. Le matin, on est resté dans la classe avec Capucine et elle nous a parlé des animaux et des arbres. Elle nous a appris à chercher des traces d’animaux, elle nous a expliqué comment vivaient les arbres.
L’après-midi, nous sommes allés en forêt. On pouvait voir des crottes de fouines et des coulées, un chemin emprunté par les animaux.
Les sangliers étaient passés dans la coulée parce que sur les feuilles, on pouvait voir de la boue.
Nous avons vu un frottis, si vous en trouvez un, vous pourrez voir des bois de chevreuil.
On a vu des boutis, ce sont des coups de nez de sanglier quand ils cherchent des vers de terre.
Les avis des élèves :
Lila-may : J’ai adoré la balade en forêt, c’était super !
Roman: J’ai bien aimé discuter des animaux avec mes copains.
Mathilde : J’ ai bien aimé chercher les indices de présence, c’était super !
Lundi 18 octobre, nous sommes allés sur le sentier. Chaque binôme avait un parcours (sauf le parcours géologique), et devait soit repeindre les panneaux de direction de villes soit repeindre les petits symboles qui indiquent les directions.
Ils avaient aussi tous un plan du sentier, avec dessus des point de différentes couleurs qui désignaient des arbres différents.
En ce moment nous travaillons sur le livre « la hulotte » sur les mystères de la forêt. Les sorties précédentes, nous avions travaillé sur les mystères de la forêt comme par exemple : les petit ponts dans les branches, le balafré, l’horrible col de naja, le père broussin, les loupes. . . Les élèves devaient donc vérifier si ils étaient à leur place comme sur le plan.
Voila ce qu’on a fait sur le sentier lundi !
L’avis des élèves :
Clément : Lundi, j’ai bien aimé repeindre les panneaux du parcours animaux et retrouver les mystères de la forêt. 🤠.
Mathilde : J’ai bien aimé observer les arbres et repeindre les panneaux de direction des villes et des pays 😉.
Hélèna : J’ai aimé me promener dans les bois, j’ai vu un écureuil, j’ai trouvé une très grosse loupe, c’était un ancien mystère de la forêt et j’ai bien aimé repeindre des panneaux avec Clélia😋.
Lundi 11 octobre, nous sommes allés sur le sentier nature pour repérer différents arbres : les arbres battus, l’arbre à hélice, les buissons du diable.
Les enfants observaient les arbres. Nous avons pris des photos du sentier nature.
Les avis des élèves :
Quentin : J’ai bien aimé mais c’ était dur à trouver.
Lila-May : J’ai bien aimé et je me suis bien amusée !
Lundi 27 septembre, nous sommes allés sur le sentier nature, en trottinant.
Nous avons parcouru la fin du parcours géologique. Nous avons regardé, quelques panneaux :
Nous avons trouver une cuillère bizarre (elle provient d’un cep de vigne !). Et plein d’autre choses étonnantes : deux châtaignes, une bogue (elles sont belles cette année les châtaignes !), un balai (une branche d’un pin)…
voici l’avis des élèves
Quentin : J’ai aimé parce-que j’aime le sentier nature !
Lundi 4 Octobre nous sommes allés sur le sentier nature pour entraîner quatre élèves qui, le mercredi expliqueront les panneaux du sentier Géologique à quelques Experts de l’ Unesco*. Ils visiteront le sentier nature pour évaluer le Geoparc Beaujolais.
Tanguy est venu en classe pour tout nous expliquer sur l’Unesco :
*L’Unesco est une association mondiale qui à commencé avec l’ Europe et qui s’est développé. L’ Unesco peut protéger un lieu, une espèce d’animaux , des roche, préservation des coutume, des habitants. Le patrimoine mondial ou patrimoine mondial de l’Unesco désigne un ensemble de biens culturels et naturels présentant un intérêt exceptionnel pour l’héritage commun de l’humanité. Ce patrimoine fait l’objet d’un traité international intitulé « Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel ».
L’avis des élèves :
Lila-May: J’ai trouvé qu’il nous a expliqué beaucoup de choses et que ça nous a bien aidé pour la vraie visite.
Clément : J’ai trouvé ça très intéressant parce que Tanguy parle doucement et prend le temps de nous expliquer. J’ai bien aimé quand il nous a montré les sites de l’ Unesco sur une carte de la terre. 🤠
Mercredi 6 octobre, de 14h30 à 16h, 4 élèves de la classe, Quentin, Clément, Toineau et Lila-May, ont présenté les panneaux du parcours aux experts de l’Unesco et aux membres du Géoparc.
Les experts venaient du Portugal et de l’Espagne. Il y avait une dame qui traduisait en anglais pour que tout le monde se comprenne bien (surtout l’expert espagnol car l’expert portugais parlait très bien français) !
Les enfants ont présenté les panneaux avec beaucoup de sérieux, ils ont reformulé ce qu’ils avaient compris sur l’Histoire de la Terre. Tous les auditeurs ont beaucoup apprécié et ont été impressionnés par les connaissances des enfants ! L’expert espagnol envisage de créer un parcours du même type dans son Geoparc en Espagne !
Pour les élèves, c’était une bonne expérience ! Ils ont réussi à parler de manière claire devant un public, ils ont bien géré leur stress et ils ont réussi à captiver l’auditoire. Un grand BRAVO ! L’ensemble de la classe les avait aidé à préparer ce moment !
Voici l’avis des guides du jour :
Clément, CM2 : « Avant d’arriver sur place, j’étais stressé car je ne me rappelais plus d’un des panneaux. J’ai relu mes fiches et ça m’a bien aidé ! J’étais fier de présenter le parcours devant les experts de l’Unesco. »
Quentin, CE2 : « J’étais stressé avant de lire mon panneau. Après le panneau, ça allait mieux ! J’ai bien aimé ce moment sur le sentier. »
Toineau, CM2 : « Je suis fier de la présentation que l’on a faite pour les experts de l’Unesco. J’ai bien aimé avoir une traductrice qui parlait bien en anglais ! Le premier panneau, c’était un peu difficile à cause du stress, pour tous les panneaux suivants, ça allait mieux, le stress était parti ! »
Lila-May : « J’ai été contente de faire cette présentation, je n’ai pas du tout eu de stress, je trouve que j’ai bien expliqué mes panneaux et en observant la tête des visiteurs, j’ai vu qu’ils étaient aussi contents de cette visite au sentier ! »
Samedi 2 octobre, des parents et des enfants sont allés sur le sentier nature pour remettre des panneaux, planter des piquets, débroussailler et remettre tous les symboles de direction . Nous avons aussi fléché le retour du sentier géologique. Nous avons réparé le petit pont de pierre qui s’était effondré.
Enfin, nous avons planté trois piquets pour le parcours oiseaux car trois panneaux vont être rajoutés.
Le sentier est prêt pour accueillir plein de visiteurs pour la foire à la courge et les experts de l’Unesco ce mercredi après-midi.
Lundi 20 Septembre, nous sommes allés sur le sentier nature. On devait chercher quatre mystères de la forêt, les mystères que nous devions chercher étaient : L’arbre à deux pattes, L’arbre Harpe, Le père broussin et Les loupes.
Voici la photo d’une loupe que j’ai trouvée :
Pendant que je cherchais les mystères, j’ai vu que le ruisseau coulait et que le petit pont en pierre s’était écroulé.
Voici l’avis des élèves :
Jade : J’ai bien aimé parce que j’aime aller sur le sentier.
Inès.s : C’était bien parce que j’ai trouvé un col-de-Naja.
Mardi 14 septembre, nous sommes allés sur le Sentier Nature. Nous devions trouver des mystères dans la forêt. Nous nous sommes aidés d’un journal appelée la hulotte.
Nous pouvions partir sur différents parcours. Nous avons fait des jeux de géographie aux tables d’orientations. A la mare, nous avons vu que la spirale avait été engloutie par les eaux.
Le cœur aussi avait disparu. Nous avons vu des petits mystères comme des petits trous dans les arbres ou encore des ponts qui relient deux arbres. Mais posons nous la question : comment les branches se sont collées à l’arbre ? Réponse : la branche a frotté contre un arbre donc elle a fini par se greffer.
Les libellules ont un corps allongé, en forme de bâton, qui mesure entre 3 et 10 centimètres. Elles ont quatre grandes ailes membraneuses qui peuvent bouger de manière indépendante. Grâce à cette petite spécialité, elles peuvent faire du sur-place, voler en arrière ou changer rapidement de direction, comme des hélicoptères miniatures ! Elles sont capables de faire des pointes de plus de 90 km/h (avec le taon, elles font partie des insectes les plus rapides).
Les libellules ont une tête assez petite, mais de très grands yeux composés comme les mouches: ils lui permettent une vue d’ensemble très large afin de repérer facilement leurs proies.
Mode de vie des adultes
Les libellules adultes vivent dans les airs et les larves, sur des plantes aquatiques.
Les libellules pondent leurs œufs dans l’eau : c’est la raison pour laquelle elles vivent généralement au bord de l’eau, près des mares et des rivières.
Les larves de libellule sont des animaux aquatiques. Elles vivent généralement entre 1 et 3 ans, avant d’en sortir pour se métamorphoser. La métamorphose est le moment où la larve de libellule se transforme en adulte. La peau de la larve s’ouvre, et l’adulte en sort. Contrairement à la larve, l’adulte a de grandes ailes, pour lui permettre de chasser dans les airs. L’adulte vit plus ou moins 6 mois.
Alimentation
Les libellules sont des prédateurscarnivores. Aussi bien la larve que l’adulte se nourrissent de petits animaux qu’elles capturent, essentiellement des insectes. L’adulte chasse notamment les mouches et les petits insectes. Les larves sont particulièrement voraces : elles s’attaquent à d’autre larves et insectes aquatiques, mais aussi aux têtards de grenouille et de crapaud, par exemple.
Les libellules en hiver
Elles passent l’hiver sous forme d’œuf ou de larve dans les étangs et les ruisseaux. Définition de Larve :individu issu de l’éclosion d’un œuf et ayant un aspect très différent de l’adulte.
Différentes espèces
Plusieurs animaux sont appelés couramment « libellules » : cela comprend les vraies libellules, qui comprennent plusieurs espèces, mais aussi les qui leur ressemblent beaucoup, et qui sont couramment appelés « libellules ».
Espèces proches
Les libellules, les aeschnes, les agrions, font partie du groupe des Odonates, qui comprend aussi lesdemoiselles. Les demoiselles sont les cousines des libellules. Elles ont souvent des ailes colorées, et une teinte métallique sur le corps.
Mercredi 23 juin, la classe de cycle 3 a préparé l’installation du parcours géologique. Nous sommes allés au bout du parcours, ce qui correspond à la date actuelle (XXI ème siècle) et nous avons remonté le temps (un mètre permettait de faire un bond de 4 millions d’années). Les élèves ont mesuré les distances, avec différents instruments préparés : une corde graduée, un mètre, un odomètre. Ils ont placé des bouchons aux emplacements prévus pour les panneaux.
Sur le retour, nous avons aussi récupéré les œuvres sismographiques laissées sur le sentier. Dans la classe, nous les avons observé et nous avons essayé de comprendre et admirer les traces laissées par les éléments naturels et le monde vivant.
Mardi 29/06 à 18h, une équipe de parents, quelques élèves, Tanguy et David ont été installer les panneaux géologiques. Jean Marie Talvat avait pris soin de réaliser des beaux encadrements bois autour de chaque panneau. Les dix étapes de l’histoire de la Terre ont été installés ainsi que les 4 panneaux présentant des affleurements présents sur le parcours. Heureusement que Tanguy était là pour nous guider et ne pas confondre les roches ! Malgré la pluie fine, nous avons pu installer tous les panneaux. Nous avons même eu droit à un magnifique arc en ciel pour clôturer l’installation !
Le parcours pourra être inauguré vendredi 2 juillet à 17h30 !
La queue est comprimée et, en phase aquatique, presque aussi haute que le corps. En tout temps, le ventre et la gorge sont orange vif avec, rarement, des taches sombres a la gorge. Le mâle se différencie des femelles par une taille et une corpulence moindres et une crête dorsale claire ponctuée de noir. La couleur générale est plutôt gris bleuâtre chez le males et brin-verdâtre chez la femelle. En phase terrestre la peau est granuleuse et les colorations sont plus ternes. La larve à comme les adultes présente une taille moyenne et se caractérise par une nageoire fine a l’extrémité obtuse, des doits et des oreilles peut allonger ainsi qu’une forte pigmentation sombre sur le corps.
Lieu de vie
Le triton alpestre est réparti en Rhône – Alpes et, dans certaines régions, avec de fortes densités. Cependant, cette espèce aujourd’hui commune pourrait devenir plus rare a moyen long et long termes, au regard des menaces pesant sur ces populations et leur connectivité.la conservation du triton alpestre a l’échelle régionales passe donc une prise en compte de l’espèce par les différents acteurs du territoire. Les actions prioritaires sont l’arrêt d’introduction de poisson dans les sites de reproduction et notamment dans les lacs d’altitude.
Ses prédateurs
Prédateurs. Le triton alpestre survit moins dans les étangs peuplés de beaucoup de poissons ou d’oiseaux prédateurs (canards, hérons) et mieux dans les petites mares isolées qu’il semble rechercher. Les larves sont plus vulnérables que les adultes.
Le triton alpestre est t’il protégé ?
Le triton alpestre est une espèce maintenant protégée dans la plupart des pays. En Europe, toutes les espèces d’amphibiens sont inscrites dans la convention pour la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l’Europe.
Leur bébé
Entre un et deux mois, les larves s’opacifient, prennent des couleurs et grandissent davantage, atteignant 3 cm après 50 jours et 4cm après 65 jours. La forme du corps change alors beaucoup : les branchies se réduisent, les jeunes tritons muent et finissent par sortir de l’eau à environ 3 mois.
Le triton alpestre vit dans les eaux stagnantes à l’abri du soleil, au Nord d’une ligne qui s’étend d’Avignon à Saint-Malo. Ce triton gris bleuté au ventre brun orangé, peut vivre en altitude, jusqu’à 2500 m. Le mâle ne dépasse pas 8 cm alors que la femelle peut atteindre 12 cm de longueur. Le triton alpestre vit dans les eaux stagnantes à l’abri du soleil, au Nord d’une ligne qui s’étend d’Avignon à Saint-Malo. Ce triton gris bleuté au ventre brun orangé, peut vivre en altitude, jusqu’à 2500 m. Le mâle ne dépasse pas 8 cm alors que la femelle peut atteindre 12 cm de longueur. Le triton alpestre vit dans les eaux stagnantes à l’abri du soleil, au Nord d’une ligne qui s’étend d’Avignon à Saint-Malo. Ce triton gris bleuté au ventre brun orangé, peut vivre en altitude, jusqu’à 2500 m. Le mâle ne dépasse pas 8 cm alors que la femelle peut atteindre 12 cm de longueur.
Femelle : longueur totale : 80 a 110 mm 120mm maximum
Vendredi 4 Juin, nous sommes allés sur le sentier nature , pour déposer les plaques de sismographie avec David Bartholomeo. Les enfants devaient choisir des emplacements pour leurs plaques. En revenant il y avait de la pluie qui nous tombait dessus ! C’était très chouette parce que cela nous rafraîchissait. Vers le conte de Cendrillon, nous avons découvert le cœur de galets réalisé par la classe de cycle 2.
Gabriel et Clément ont couru jusqu’à la mare pour vérifier qu’une tuile orientait les visiteurs vers le cœur de galets.