Exposé sur « le triton alpestre »

                                  Comment le reconnaitre ?

La queue  est comprimée et,   en phase aquatique,  presque aussi haute que le corps. En tout temps, le ventre et la gorge sont orange vif avec, rarement, des taches sombres a la gorge. Le mâle se différencie des femelles  par une taille et une corpulence moindres  et une crête dorsale claire ponctuée de noir. La couleur générale est plutôt gris bleuâtre chez le males et brin-verdâtre chez la femelle. En phase terrestre la peau est granuleuse et les colorations sont plus ternes. La larve à comme les adultes présente une taille moyenne et se caractérise par une nageoire fine a l’extrémité obtuse, des doits et des oreilles peut allonger ainsi qu’une forte pigmentation sombre sur le corps.

                                                 Lieu de vie

Le triton alpestre est réparti en Rhône – Alpes et, dans certaines régions, avec de fortes densités. Cependant,  cette espèce aujourd’hui commune pourrait devenir plus rare a moyen long et long termes, au regard des menaces pesant sur ces populations et leur connectivité.la conservation du triton alpestre a l’échelle régionales passe donc une prise en compte de l’espèce par les différents acteurs du territoire. Les actions prioritaires sont l’arrêt d’introduction de poisson dans les sites de reproduction et notamment dans les lacs d’altitude.

                                                          Ses prédateurs

Prédateurs. Le triton alpestre survit moins dans les étangs peuplés de beaucoup de poissons ou d’oiseaux prédateurs (canards, hérons) et mieux dans les petites mares isolées qu’il semble rechercher. Les larves sont plus vulnérables que les adultes.

                 Le triton alpestre est t’il protégé ?

Le triton alpestre est une espèce maintenant protégée dans la plupart des pays. En Europe, toutes les espèces d’amphibiens sont inscrites dans la convention pour la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l’Europe.

                                    Leur bébé

Entre un et deux mois, les larves s’opacifient, prennent des couleurs et grandissent davantage, atteignant 3 cm après 50 jours et 4cm après 65 jours. La forme du corps change alors beaucoup : les branchies se réduisent, les jeunes tritons muent et finissent par sortir de l’eau à environ 3 mois.

Le triton alpestre vit dans les eaux stagnantes à l’abri du soleil, au Nord d’une ligne qui s’étend d’Avignon à Saint-Malo. Ce triton gris bleuté au ventre brun orangé, peut vivre en altitude, jusqu’à 2500 m. Le mâle ne dépasse pas 8 cm alors que la femelle peut atteindre 12 cm de longueur. Le triton alpestre vit dans les eaux stagnantes à l’abri du soleil, au Nord d’une ligne qui s’étend d’Avignon à Saint-Malo. Ce triton gris bleuté au ventre brun orangé, peut vivre en altitude, jusqu’à 2500 m. Le mâle ne dépasse pas 8 cm alors que la femelle peut atteindre 12 cm de longueur. Le triton alpestre vit dans les eaux stagnantes à l’abri du soleil, au Nord d’une ligne qui s’étend d’Avignon à Saint-Malo. Ce triton gris bleuté au ventre brun orangé, peut vivre en altitude, jusqu’à 2500 m. Le mâle ne dépasse pas 8 cm alors que la femelle peut atteindre 12 cm de longueur.

Femelle : longueur totale : 80 a 110 mm  120mm maximum

Longueur museau-cloaque : jusqu’à 74mm

Poids : 3 ,5 a 5g

Male : longueur : 70  a  95 mm 100cm maximum

Longueur museau-cloaque : jusqu’à 65 mm

Poids : 2,5 g à 3,5g

La sismographie

Vendredi 4 Juin, nous sommes allés sur le sentier nature , pour déposer les plaques de sismographie avec David Bartholomeo. Les enfants devaient choisir des emplacements pour leurs plaques. En revenant il y avait de la pluie qui nous tombait dessus ! C’était très chouette parce que cela nous rafraîchissait. Vers le conte de Cendrillon, nous avons découvert le cœur de galets réalisé par la classe de cycle 2.

Gabriel et Clément ont couru jusqu’à la mare pour vérifier qu’une tuile orientait les visiteurs vers le cœur de galets.

Roman et Daniel

Les responsables du sentier en action.

Mardi 1 juin, les responsables du sentier et David (notre maître) sont allés sur le sentier de 15H à 16H. Mais avant, nous avions pris des panneaux de direction, des panneaux de plante et des vis de différentes tailles dans la cave puis nous sommes allés chercher une masse, le sac de David, sa perceuse visseuse avec des embouts.

Nous avons déplacé la spirale qui glissait vers les nids.
Nous l’avons déplacée sur la plage de la mare.
Elle est jolie hein !

Au retour, nous avons remis des panneaux de direction de parcours qui étaient tombés et c’est les enfants qui les revissaient. Louis-Martin qui n’avait pas encore vissé, a fixé le dernier panneau : Bruxelles.

Toineau

Le projet vannerie

Au mois de février, Paul est venu dans notre école, pour faire de la vannerie avec la classe.

Chaque élève devait fabriquer une corbeille en osier.

Paul est revenu dans la classe au mois de mai pour faire un nichoir en osier et un panier en rotin avec cinq élèves de cycle 3. Nous sommes allés dehors, trois élèves faisaient le panier et deux autres faisaient le nichoir. Les élèves pouvaient changer d’atelier.

Nos Avis:

Sahel: J’adore la vannerie parce que j’aime tisser et manipuler les brins d’osier ainsi que le rotin.

Maxence: J’aime bien la vannerie, ça m’intéresse beaucoup !

Le parcours plante

Mercredi 19 mai 2021, nous sommes allés au parcours plantes pour identifier des plantes qui avaient bougées et pour ramasser des fleurs et de la terre de différentes couleurs.

Nous les avons ramassé pour un projet en cours avec David Bartholoméo : ce projet de sismographie consiste à prendre les traces des animaux et des éléments naturels.

Nous avons croisé une salamandre.

Chaque binôme avait des bouchons avec écrit dessus le nom de la plante. Rapidement, quand on trouvait une plante, on devait poser le bouchon correspondant. On le plantait à coté de la plante qui correspondait.

J’ai trouvé que c’était comme une chasse au trésor, on devait trouver le bon endroit pour poser le bouchon ! Victor

Victor

La réparation du sentier…

Vendredi 8 mai, nous (Nolan et Clément) sommes allés sur le sentier nature. Nous avons remis l’hôtel à insecte.

Nous avons enlevé les piquets du parcours géologique pour les remplacer par d’autres. Nous avons recloué les panneaux du parcours conte. On a aussi accroché les panneaux qui étaient tombés, on a du monter dans les arbres !!!

On a aussi cherché des galets, on en a trouvé deux ou trois…

Nolan et Clément 😉

Trouve mon galet

Depuis quelques temps, on peut trouver des beaux galets décorés cachés sur le sentier, voici plus d’informations sur cette opération : https://www.facebook.com/groups/tmgbeaujolais/

Elisa et sa maman ont eu la belle idée de créer un serpent de galets vers la table d’orientation. Depuis sa création, beaucoup de visiteurs sont venus pour échanger et rajouter des galets, le serpent a bien grandi…

Au conseil de classe, Célian a proposé de participer à l’opération et de créer à notre tour des galets que nous mettrons sur le sentier nature. Chaque élève a pu ainsi laisser laisser cours à sa créativité et décorer 2 ou 3 galets. Ils sont très beaux.

Mercredi 12 mai, nous les avons déposé vers les nids en formant une belle spirale !

N’hésiter pas à échanger et faire voyager nos galets et aussi à poursuivre cette magnifique spirale !

La classe de cycle 2 et les maternelles préparent à leur tour un lâcher de galet sur le sentier. A quel endroit ? Sous quelle forme ?

Réponse très bientôt !

La mare expliquée par Fabien

Mardi 4 Mai les enfants de la classe maternelle sont allés sur le sentier nature. Ils ont rencontré Fabien, membre de la LPO qui leur a montré le fruit de sa pêche dans la mare du sentier.

Fabien a une autorisation qui lui permet de manipuler et relâcher les espèces protégées par la loi . Il faisait très attention en manipulant tous ces amphibiens. Il mouillait à chaque fois ses mains pour  pour ne pas retirer leur mucus protecteur et ne pas transmettre de bactéries puis les remettait dans son seau. Il l’a fait de façon exceptionnelle et avec précaution (pour sensibiliser) car c’est la période de reproduction.

Il a montré une larve de salamandre, un têtard, des tritons, une larve de libellule.

Il a expliqué qu’il ne fallait surtout pas introduire de poisson dans une mare car celui-ci dévorerait les larves des petits animaux qu’il trouverait dans l’eau et il n’y aurait plus de grenouille, de libellule, de salamandre etc…

Il a expliqué comment différencier les tritons mâles des femelles. Les mâles ont des pâtes arrière palmées ce qui n’est pas le cas des femelles. Le triton alpestre qu’on a observé a un ventre orangé vif et des petits points jaunes.

La salamandre a des branchies sur les côtés qui lui permettent de respirer.

La larve de libellule a une arme secrète : sa mâchoire s’allonge pour attraper les têtards qu’elle veut manger. C’est impressionnant à voir.

Comme nous ne pouvons pas faire comme Fabien pour observer les habitants de la mare, il a proposé d’aménager les abords en posant quelques tuiles sur les côtés. Ainsi les salamandres ou les grenouilles auront la possibilité de s’y réfugier et ainsi en soulevant délicatement les tuiles nous aurons plus de chance de les observer sans les blesser ou détruire leur habitat.

La classe de cycle 2 à la mare.

bonjour !

nous sommes des enfants de la classe de cycle 2

dans l’école de Montmelas. Mardi nous sommes allés à la mare du sentier nature et nous avons vu des animaux qui habitent dans la mare. C’est un monsieur qui s’appelle Fabien qui nous a tout expliqué. Nous avons vu un tétard de crapaud accoucheur, un petit de salamandre et des tritons.

Voilà l’affiche que nous avons faite dans la classe pour nous rappeler de tout ! Vous pouvez lire tout ce qu’on a appris…

Gabrielle, Cassandra et Mathilde

Une visite passionnante de la mare

Mardi 4 mai, nous sommes allés sur le sentier nature, chaque classe (cycle 2, maternelles et cycle 3 sont passés à tour de rôle.. On est allé vers la mare. Fabien, intervenant de la LPO (Ligue Protectrice des oiseaux) nous attendait. Il nous a raconté la vie de la mare et de ses habitants pendant 40 minutes.


Lorsque la mare vieillit, il y a des végétaux qui apparaissent, c’est le cycle naturel d’une mare. En France, il y a de moins en moins de mare, 70 % des mares ont disparu en vingt ans. La faune de la mare disparait aussi, la plupart des espèces sont protégées.


Il ne faut pas mettre de poissons dans une mare. Cela risque de faire un déséquilibre, les poissons se reproduisent rapidement, ils mangent les autres espèces et ils étouffent la mare. Dans la mare qui ne sont pas à coté d’une rivière, c’est normal qu’il n’y ait pas de poissons. Dans les mares qui contiennent des poissons, l’eau est opaque.

Dans notre mare, il y a plus de vase que d’eau, il y a environ 80 cm de vase pour 40 cm d’eau ! Il n’y a pas de poissons mais il y a quand même beaucoup de vie ! Fabien a réussi a trouvé en 5 minutes des larves d’alyte accoucheur, de salamandre, de libellules, des tritons. On a aussi déjà vu des grenouilles agiles et des grenouilles rousses.

Nous avons observé la larve d’alyte accoucheur. La femelle met au monde des œufs puis les donne au mâle jusqu’à l’éclosion. C’est le seul amphibien où le mâle garde les œufs ! Le mâle met les œufs sur son dos comme un sac à dos !

L’alyte accoucheur

La larve de salamandre est jaune avec des points noirs. Elle a une tache blanche sur le haut de ses pattes. Elle a des branchies extérieures qui se rétractent au stade adulte, elle aura ensuite des poumons.

Larve de salamandre

La larve de libellule est un super prédateur des mares. Elle n’a pas de prédateurs sauf le martin-pêcheur et le héron s’ils n’ont rien d’autres à se mettre sous la dent. Sa couleur principale est le noire avec des taches vertes foncées ou argentées. Elle a une pince articulée sous la mâchoire pour attaquer les autres habitants de la mare. c’est son arme secrète ! Elle mange des têtards. Elle respire par l’arrière. Ce tube lui permet aussi de se propulser en soufflant.

Larve de libellule

Les tritons respirent sous l’eau, on voit des bulles remonter à la surface depuis l’endroit où ils se trouvent. Le mâle triton palmé a des palmes aux deux pattes arrière. Il est gris et noir. La femelle n’a pas les pattes palmées, elle porte les œufs.

Le triton alpestre a le ventre orange vif, il a une crête jaune qui reste debout seulement dans l’eau. Il a 4 pattes, sa tête ressemble à celle de la grenouille, il a une queue qui ressemble à celle du têtard. Il a des petites tâches jaunes. Il est assez rare.

le triton alpestre

Quand nous sommes arrivés, on a demandé à Fabien pourquoi il portait la veste de la LPO alors qu’il était là pour nous parler de la mare et des amphibiens. il nous a expliqué que les oiseaux sont les plus proches cousins des reptiles. Exemple: la poule a les pattes avec des écailles comme la plupart des reptiles.

Pendant la séance, des oiseaux chantaient. On avait l’impression d’être dans une forêt tropicale lorsqu’on fermait les yeux. On entendait un rossignol Philomène et une fauvette à tête noire.

Rossignol philomèle. Famille des Muscicapidés. Ordre : Passériformes

On a beaucoup apprécié cette visite et on a appris beaucoup de choses. Merci Fabien ! On attend avec impatience la prochaine animation.

La classe de cycle 3.

L’affiche réalisée par les élèves de cycle 2.

Apres la balade sensible…

Après la balade sensible, David Bartholoméo nous a montré les feuilles où nous avions dessiné.

Il nous a aussi montré les lignes et les courbes, il nous a expliqué la sismographie, les machines sismographiques et les tremblements de terre. Ensuite il est venu pour nous montrer une vidéo où il était guidé par la musique des musiciens et il devait dessiner les yeux fermés sur un mur. Une machine sismographique marche comme ça : il y a un crayon qui est accroché sur une feuille et dès qu’il y a une secousse, cela dessine des courbes.

Nolan et Clément

La remise des panneaux sur le sentier nature.

Le 26 Mars, quelques parents et enfants se sont réunis devant l’école pour installer les panneaux sur le sentier nature. Les panneaux qui étaient à l’ école avaient été préparés sur le balcon pendant l’après-midi, nous avons tout chargé dans une voiture et nous sommes allés à la mairie. Nous avons pris les panneaux qui étaient dans la cave de la mairie. Nous les avons installés par terre pour changer les photos, réécrire ce qui ne se voyait pas bien. Beaucoup d’anciens élèves sont venus nous aider.

Alors, nous nous sommes séparés en deux groupes : un groupe était avec une brouette avec les premiers panneaux à installer et un deuxième groupe était en voiture, ils avaient beaucoup de panneaux à installer.
Moi, j’étais avec le premier groupe, nous accrochions les panneaux au fur et à mesure que nous avancions mais d’un coup il a commencé à pleuvoir ! Alors nous avons décidé avec l’autre groupe que nous allions arrêter et continuer mardi 30 mars.

Mardi 30 Mars un petit groupe s’est réuni pour finir d’installer les panneaux. Nous avions tous un panneau, nous sommes restés en un groupe et nous les avons installés au fur et à mesure. Nous avons fini d’ installer tous les panneaux sur le sentier nature.

Louis-Martin

La balade sensible

Au début David Bartholoméo nous a donné des plaques avec des feuilles de papier dessus. On devait tenir un feutre entre le majeur et l’index.

Le feutre bougeait au rythme de nos pas, au fur et à mesure que l’on marchait, le feutre faisait des formes bizarres. On se passait les feutres plusieurs fois. On a marché quelque temps.

Puis, on s’est arrêté pour faire le deuxième exercice. On devait repérer les sons qui nous entouraient. On fermait les yeux et on avait aussi deux feutres, un à gauche et un à droite. Si le son venait de droite, nous devions dessiner le son avec ce feutre.

Voici l’avis des élèves :

Lola : J’ai bien aimé le parcours avec les feutres !

Gabriel : Je n’ai pas aimé surtout quand on marchait à reculons !

Louis-martin : C’est reposant car le feutre glisse tout seul.

Nolan et Clément 🙂

L’orite à longue queue.

Mercredi 10 mars le matin, en entrant dans la classe, nous devions chercher des objets en bois que David avait caché. Nous avions trois objets : une fleur, une grenouille et un espèce d’arbre. Tout le monde a cherché les objets en bois, c’était super ! Donc, ce jour-là, nous devions aller sur le parcours « plante » et aussi observer la mare parce qu’ elle évolue. ( c’est très sympa à observer ! )

Ensuite nous sommes allés sur le sentier. Les élèves devaient retrouver et prendre des plantes qu’on avait nommées au début du sentier. Pendant ce temps, nous deux ( Sahel et Mathis ), avons observé une orite à longue queue.

Renseignement sur l’orite à longue queue:

Cet oiseau mesure 13 à 14, 5 cm (dont 8 à 9 cm pour la queue) pour une envergure de 17 à 18 cm et une masse de 6 à 10 g. C’est un minuscule oiseau avec une très longue queue et des petites ailes rondes, au ventre blanc légèrement rosé, à la tête blanche et grise avec, chez la grande majorité des individus vivant en France une bande noire du front à la nuque passant au-dessus de l’œil. Elle se nourrit essentiellement d’insectes, de quelques graines et de bourgeons à la mauvaise saison. Elle ne dédaigne pas les mangeoires en hiver.

On l’a considérée longtemps parmi les mésanges, mais elle a la taille d’un troglodyte mignon et avec une longue queue. Elle n’a pas la taille d’une mésange, du coup on ne la considère plus parmi les mésanges. Son nom a changé, on l’appelle désormais l’orite à longue queue.

Elle se déplace en petits groupes.

Voici une orite à longue queue.

Épinglé sur BIRDS

Voici l’orite à longue queue avec ses poussins !

La mésange nounou – Ad Naturam
Voici un oisilon orite à longue queue.
Découvrez le plus mignon des passereaux : la mésange à longue queue blanche  !

Commentaires:

Ana: C’était très bien, j’ai vu une orite à longue queue !

Mathis: J’ai vu une orite a longue queue avec Sahel et j’ai trouvé cette journée très bien.

Sahel: J’ai observé une orite à longue queue avec Mathis, c’était la première fois que j’en voyais une sur le sentier nature !

Sahel et Mathis

Les mystérieux trous du châtaigner

Mercredi 24 février, nous sommes allés sur le sentier nature. On a fait le parcours insectes, et on a répondu aux questions. Nous avons trouvé des poils de blaireau.

Voici la photo:

Nous sommes passés devant un châtaigner, il y avait des trous.

Voici la photo de l’arbre :

Devinez quel oiseau a fait ces trous.

Nous pensons que ces trous ont été faits par un pic épeiche.

La photo de cet oiseau :

Pic épeiche - Dendrocopos major

Voici des renseignements sur l’oiseau:

Le Pic épeiche  est l’espèce de pics la plus répandue et la plus commune en Europe et dans le Nord de l’Asie. Faisant partie des pics de taille moyenne, il se caractérise par un plumage rayé de blanc et de noir et une tache rouge écarlate sur le bas-ventre près de la queue. Chaque année, au printemps, cet oiseau choisit un tronc d’arbre,et il attaque vaillamment le bois à coup de bec. En quelques semaines, il, creuse une belle cavité au cœur de l’arbre.

Nous avons aussi trouvé une crotte de martre :

Voici l’évolution de la mare :

Lola et Ana